Quelques espérantistes ont participé au 9 e Rencontres Internationales de l’Himalaya qui ont eu lieu du 26 février au 8 mars.

Voici un petit résumé de leur voyage avec quelques photos.

Les Népalais ont très très bien organise ces rencontres.

Grand merci à l’Association Népalaise d’esperanto!!

Trois fois, nous nous sommes  réveillés de très bonne heure, 5h30 !!! pour admirer le lever du soleil sur les magnifiques pics ; vraisemblablement, c’est l’un des plus beaux spectacles gratuits auxquels nous avons assistes.   

La vallée de Katmandou haute aux environs de 1300 mètres, au-dessus du niveau de la mer, et, où se tient la ville principale «  Katmandou «  riches de temples,

et beaucoup de belles choses à voir, elle est aussi le centre du commerce

et de la culture.

Au Népal, le climat est doux, frais la nuit, et tempéré le jour pendant cette agréable saison« Touristique » entre octobre et avril

Les cultures en terrasse nous ont beaucoup impressionnées ! Ils sont capables de récolter deux fois dans  l’année, principalement du riz pendant la saison sèche, et après, du triticale, de l’orge, du mil et du maïs ; même plusieurs fois divers légumes,

 (Fèves, haricots,  choux, lentilles, tomates et pommes de terre.)

Les vaches sont sacrées pour les Hindous, on élève les vaches pour le lait , mais que faire avec les vaches âgées, ils les laissent errer dans les rues et elles se nourrissent souvent parmi les ordures.

De nombreux dieux et de déesses dans l’Hindouisme                  
                     

Nous avons encore visité, après toute une journée en bus sur une route pittoresque de montagne où se pressaient des camions, des tracteurs et des bus bondés, à côté de la frontière avec l’Inde, la ville de Lumbini !

Plus près de Katmandou, combien de magnifiques lieux et de temples à voir, et à visiter !

(Bhaktapur, Darbar de Patan, Stupa de Bauddhanath, Talejou de Basantapour, Swayambhunath …………)

Nous garderons de merveilleux souvenirs.

Un couple d’espérantistes kazakhs en visite en Bretagne

Pays de steppes peuplé autrefois de cavaliers nomades, le Kazakhstan est un pays indépendant depuis 1991 après avoir fait partie de l’ex URSS.

Ce vaste pays, cinq fois plus grand que la France, est composé de citoyens de différentes ethnies comme Ruslan, d’origine tartare et Victoria, d’origine russe

Un cycle de conférences « Depuis l’enfance, j’ai toujours voulu apprendre l’espéranto, mais je pensais que ce langage universel était réservé aux scientifiques.

Suite à un article dans la presse locale, j’ai appris l’espéranto par correspondance. Je suis ravi que cette langue me permette aujourd’hui de voyager et de présenter mon pays à l’étranger », précise Ruslan.

Le couple de Kazakhs vit à Atyraou au bord de la mer Caspienne, à l’embouchure du fleuve Oural. « Je vis en Asie et je travaille en Europe », explique Ruslan. En effet, Atyraou se situe à cheval entre l’Europe et l’Asie, car l’Oural qui traverse la ville est en fait la frontière naturelle délimitant les deux continents.

Pendant un mois, Ruslan et Victoria vont sillonner la Bretagne et animer un cycle de conférences en espéranto sur le Kazakhstan. 

Ils présenteront leur pays et répondront aux questions sur divers thèmes : les vastes steppes, les fêtes traditionnelles, la mer d’Aral, le cosmodrome de Baïkonour, le nouveau président tout juste élu...